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8 mars : 1 journée pour parler des droits des femmes, 364 pour les mettre en oeuvre

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8 mars : 1 journée pour parler des droits des femmes, 364 pour les mettre en oeuvre.

L’édito d’Henri Leblanc, délégué général de l’Amref en France

 

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Investir du temps, de l’énergie et des moyens pour contribuer à garantir l’accès des plus vulnérables, des plus fragiles, aux services de santé essentiels est la meilleure stratégie pour parvenir à la santé pour tous…et pour toutes ! C’est la conviction que nous portons depuis 60 ans. L’accès à des soins de santé primaire est un droit humain fondamental. A ce titre,  les jeunes filles et femmes africaines y prétendent.

Depuis 60 ans l’AMREF relève le défi de promouvoir ce droit, évidement en agissant pour l’amélioration de la santé maternelle, mais bien au-delà, pour la santé des filles et des femmes tout au long du cycle de vie. Tout au long de ce cycle, les barrières sociales, culturelles, économiques aussi, se succèdent. Au-delà des défis propres aux services de santé (pénurie de personnel qualifié, difficile accès aux traitements, problèmes de financement des soins…), l’exercice du droit à la santé des jeunes filles et des femmes touche avant tout à leur place, à leur statut, à leur rôle socialement attendu.

Il n’existe pas de vaccin providentiel pour changer la donne. Mais agir concrètement avec et pour les filles et les femmes, tout au long de leur vie est possible : prévenir les risques les plus graves pour leur santé depuis leur plus jeune âge ; mobiliser les communautés contre les pratiques les plus néfastes pour leur santé ; promouvoir la scolarisation durable des filles ; informer et renforcer leur capacité à choisir les solutions pour leur santé ; améliorer et « humaniser » les pratiques et l’écoute des personnels de santé en faveur des femmes… En faveur des femmes, oui, mais jamais sans les hommes qu’il faut impliquer et mobiliser pour un changement durable de la santé en Afrique.  Au-delà des soins, on touche à l’éducation, à la norme sociale, à l’égalité face à l’information, au pouvoir de décision.

A défaut de régler tous ces défis, nos programmes s’efforcent de prendre en compte la réalité sociale locale et de promouvoir l’égalité et la non-discrimination, à notre humble mesure, et pas uniquement le 8 mars.

Quelques exemples concrets de nos programmes en Afrique de l’ouest…

Espace ado 

Cellel E Kisal

Ecoles santé

PRECIS

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